Monsieur Gérard Daguin nous a quiité ce 29 novembre 2018.
"Que son âme repose en paix"
Amiens
Couvert
Chroniques historiques
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Avec la participation de Bernard Brousse
avec la courtoisie de
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Vers la séparation de l'Eglis et de L'Etat, à Sens
Mgr L'Hermite de Champbertrand exécuté en 1793.
Du couvent des Ursulines à l’école Jeanne d’Arc
Charles IX entre à Sens, en 1563
Eglise Saint-Didier ou Sainte-Mathie
Exécution par le feu de JeanLanglois (1547)
Nouveaux noms de rues
Michelle Leclerc
Thomas Becket quitte sens en 1170..
Le déroulement hydrologique, source:
http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/060704_RIC_SMYL_cle21c6d2.pdf
Le bassin de L’Yonne Ce bassin d’une superficie de 10 840 km2 couvre la majeure partie du département de l’Yonne, une part assez importante en superficie des départements de la Nièvre, de la Côte-d’Or et de l’Aube et quelques communes de la Seine-etMarne. Sur le bassin de l’Yonne se trouvent les altitudes les plus élevées (au delà de 900 mètres près de Château-Chinon) de l’ensemble du bassin de la Seine. La nature et la densité du chevelu hydrographique des sous-bassins de l’Yonne sont très diversifiées et dépendent de la nature géologique des terrains traversés. La densité des petits cours d’eau est très élevée sur les terrains imperméables du Morvan (région granitique des sources de l’Yonne et de ses principaux affluents, la Cure, le Serein, et l’Armançon). Elle est au contraire extrêmement faible sur le reste du bassin où les eaux s’infiltrent rapidement. Les terrains pauvres en eau de surface sont de ce fait généralement riches en eaux souterraines. Hormis la Vanne, affluent de la rive droite de l’Yonne en amont de Sens, les affluents principaux de l’Yonne ont un tracé sensiblement sud-nord : la Cure, le Serein, l’Armançon affluents de la rive droite de l’Yonne, le Beuvron, la Baulche, le Tholon, le Vrin affluents de la rive gauche. Les crues importantes, généralisées sur l’ensemble du bassin de l’Yonne et antérieures au XXème siècle sont celles de juin 1613, février 1658, juin 1697, décembre 1740, décembre 1801-janvier 1802 (3.97 m à l’échelle du pont de Sens), mai 1836 (4.30 m), mai 1856 (4.04 m), septembre 1866 (4.30 m). Alors que les crues majeures sur le bassin de la Seine ont lieu généralement en hiver, on a observé pour l’Yonne des événements majeurs en mai (1836, 1856), juin (1613, 1697) voire juillet (1591). La crue de septembre 1866 est remarquable : son ampleur a été exceptionnelle et il s’agit de l’unique grande crue connue relevée au mois de septembre. Depuis le début du siècle dernier, les crues les plus importantes sont janvier 1910 (4.44 m à l’échelle du pont de Sens), décembre 1910 (3.65 m), décembre 1923 (3.73 m), puis, postérieurement à la mise en service du lac-réservoir de Pannecières, janvier 1955 (3.52 m) et plus récemment janvier 1982 (3.03 m), avril 1998 (2.80 m) et mars 2001 (mars 3.25 m). Les agglomérations d’Auxerre, Sens, Joigny, Tonnerre, Chablis et Migennes regroupent les principaux enjeux du secteur. Le reste du bassin versant amont est occupé principalement par des zones agricoles très peu vulnérables aux inondations.
Date de dernière mise à jour : 02/07/2021